La Maison d'Alice
La Maison d'Alice est un lieu familial, elle offre un séjour temporaire chaleureux et un accompagnement axé sur la dimension humaine et sur la vie.
Des objectifs ambitieux
Après plus de 18 mois de travaux, la Maison d’Alice ouvre ses portes aux premiers patients en septembre 2016.
Ainsi, à ce jour, plus de 52 patients ont été hébergés en pension complète dans ses bungalows, avec une prise en charge financière des frais annexes liés au traitement.
Assistés au quotidien par un personnel paramédical dans le suivi de leur cure de chimiothérapie ou de radiothérapie à l’ICL, ces patients bénéficient aussi d’un accompagnement psychologique et social personnalisé.
Parce que nous croyons à l’importance de l’environnement dans le processus de guérison, nous mettons tout en œuvre pour offrir aux patients un accompagnement multiforme dans un cadre paisible et chaleureux.
Les objectifs
- Héberger les patients durant la période de leur traitement ambulatoire
- Améliorer les conditions sociales et psychologiques des patients afin de diminuer les abandons de traitements et augmenter le taux de guérison
- Faciliter le suivi régulier des patients en cure de chimiothérapie ou de radiothérapie
- Accompagner les enfants dans la poursuite de leur scolarité et la pratique d’activités ludiques via un encadrement individuel
- Offrir des soins de support tels que l’acupuncture, l’esthétique, la musicothérapie, l’art-thérapie, la diététique, la gymnastique douce, ou encore la kinésithérapie pour le bien-être des patients
- Assurer l’information, l’éducation et la communication des patients sur le suivi et le contrôle de la maladie


Les chiffres du Cancer
Au Gabon,
- 20% des patients malades du cancer interrompent leur traitement faute d’hébergement à Libreville (chiffres 2013)
- 400 décès/ an sont dûs aux cancers féminins (chiffres 2013)
- 20 studios individuels avec terrasse pour accueillir les patients
- Dont 4 studios dédiés à l'accueil d'un enfant et d'un parent
- En moyenne, le séjour d’un patient s‘étend à 38 jours.
